











Ce trek engagé vous fait découvrir ce pays andin uniquement par la marche, en traversant toute la Sierra, région montagneuse de l'Equateur. Vous rencontrez une communauté indienne, découvrez le marché d'Otavalo et partez à la conquête du Fuya-Fuya, de l’Imbabura (4460m), du Rucu Pichincha, de l'Illiniza Norte (5126m), du Rumiñahui (4640m), et, pour les plus courageux, le Cotopaxi (5897m). L'itinéraire se termine sur les pentes du Chimborazo, emblème mythiques de l’alpinisme équatorien, avant de mettre les pieds dans les eaux thermales de la ville de Baños pour un repos bien mérité. Un programme sportif et hors sentiers battus !
Les niveaux du voyage
Niveau physique
plus de 6h d'activité par jour en moyenne ou un dénivelé moyen de 800 à 1000m
Altitude
De 3500 à 4500 mètres
supplément chambre individuelle : nous contacter pour disponibilité et prix.
Envie de partir en famille ou avec vos amis aux dates que vous souhaitez ?
8 nuits en hôtel 3 étoiles locales, bien situés dans les villes
1 nuit chez l'habitant, dans une communauté indienne
4 nuits dans un petit hôtel andin
Les hôtels des grandes villes sont des 3 étoiles locales (chambres avec sanitaires privés, eau chaude, électricité) ; ailleurs ce sont des hôtels plus simples (2 étoiles locales). Les auberges, bien que charmantes et calmes, restent de petites structures au confort simple. Vous dormez en dortoir et les toilettes et les douches sont parfois communes. Il y a peu d’eau chaude et on ne peut se laver à plus de deux personnes à la fois. Le système d’eau chaude fonctionne avec des bouteilles de gaz qui peuvent se finir ou s’éteindre à cause du vent. Lorsque c'est le cas, n'hésitez pas à prévenir votre accompagnateur ou les employés de l’auberge. Cette dernière recommandation vaut pour tous les logements.
Dormir chez l'habitant permet d'avoir un réel contact avec les populations. Bien sûr, leur niveau de vie est très différent du nôtre mais nous avons choisi et préparé avec eux ces lieux d'accueil. Chez l'habitant veut dire :
• Vous dormez dans des chambres à 4 ou 5 personnes maximum (pas de chambres doubles ou individuelles).
• Les chambres sont simples mais propres.
• Chacun aura un matelas et un oreiller. Les températures pouvant être assez basses, vous pouvez utiliser votre drap de sac polaire pour plus de confort.
• Il y a peu d'eau chaude
• Pas plus de deux personnes en même temps pour la douche.
• La douche et les toilettes sont parfois communes, à l'extérieur.
• Pas de chauffage et les portes ne ferment pas à clé.
• Il est possible que des coqs, chiens et autres animaux fassent du bruit pendant la nuit ou tôt le matin.
• Passer une nuit chez l’habitant implique de votre part d’accepter et respecter les spécificités du mode de vie et de la culture de vos hôtes. Le développement du tourisme communautaire est assez récent, et les locaux n'ont parfois jamais été à l’école ni ne sont sortis des communautés. Ils ont une façon de voir les choses différente de la nôtre, et il vous appartient de vous adapter aux comportements de votre famille d’accueil.
Un supplément vous permet de dormir en chambre individuelle, selon disponibilité. Le supplément « chambre individuelle » (ou « simple ») vous permet de dormir seul(e), en toute tranquillité : ce n’est ni un surclassement, ni la garantie d’avoir une chambre aussi spacieuse qu’une chambre double. Il est possible que les hôtels réservent leurs plus petites chambres aux occupations individuelles.
Voici la liste de nos hôtels (ou similaires, pouvant changer selon la disponibilité au moment de votre réservation) :
Quito : Hôtel Ikala
Otavalo : Hôtel Yamor
La Esperanza : Chez Aida
El Chaupi : Auberge Huerta Sacha
Lasso : Auberge San Joaquin
Chugchilán : Auberge Cloud Forest
Riobamba : Hôtel Rincón Aleman
Baños : Hôtel La Chimenea de Piedad
Itinérant
plus de 6h d'activité par jour en moyenne ou un dénivelé moyen de 800 à 1000m
Bien choisir le niveau de votre voyage
De 4 à 15 participants
Voyage sportif : randonnées en haute altitude, dénivelés fréquents et parfois importants.
Selon les volcans, nous faisons une ascension jusqu'au sommet ou partielle, c'est-à-dire sur les flancs uniquement.
8 nuits en hôtel 3 étoiles locales, bien situés dans les villes
1 nuit chez l'habitant, dans une communauté indienne
4 nuits dans un petit hôtel andin
Les hôtels des grandes villes sont des 3 étoiles locales (chambres avec sanitaires privés, eau chaude, électricité) ; ailleurs ce sont des hôtels plus simples (2 étoiles locales). Les auberges, bien que charmantes et calmes, restent de petites structures au confort simple. Vous dormez en dortoir et les toilettes et les douches sont parfois communes. Il y a peu d’eau chaude et on ne peut se laver à plus de deux personnes à la fois. Le système d’eau chaude fonctionne avec des bouteilles de gaz qui peuvent se finir ou s’éteindre à cause du vent. Lorsque c'est le cas, n'hésitez pas à prévenir votre accompagnateur ou les employés de l’auberge. Cette dernière recommandation vaut pour tous les logements.
Dormir chez l'habitant permet d'avoir un réel contact avec les populations. Bien sûr, leur niveau de vie est très différent du nôtre mais nous avons choisi et préparé avec eux ces lieux d'accueil. Chez l'habitant veut dire :
• Vous dormez dans des chambres à 4 ou 5 personnes maximum (pas de chambres doubles ou individuelles).
• Les chambres sont simples mais propres.
• Chacun aura un matelas et un oreiller. Les températures pouvant être assez basses, vous pouvez utiliser votre drap de sac polaire pour plus de confort.
• Il y a peu d'eau chaude
• Pas plus de deux personnes en même temps pour la douche.
• La douche et les toilettes sont parfois communes, à l'extérieur.
• Pas de chauffage et les portes ne ferment pas à clé.
• Il est possible que des coqs, chiens et autres animaux fassent du bruit pendant la nuit ou tôt le matin.
• Passer une nuit chez l’habitant implique de votre part d’accepter et respecter les spécificités du mode de vie et de la culture de vos hôtes. Le développement du tourisme communautaire est assez récent, et les locaux n'ont parfois jamais été à l’école ni ne sont sortis des communautés. Ils ont une façon de voir les choses différente de la nôtre, et il vous appartient de vous adapter aux comportements de votre famille d’accueil.
Un supplément vous permet de dormir en chambre individuelle, selon disponibilité. Le supplément « chambre individuelle » (ou « simple ») vous permet de dormir seul(e), en toute tranquillité : ce n’est ni un surclassement, ni la garantie d’avoir une chambre aussi spacieuse qu’une chambre double. Il est possible que les hôtels réservent leurs plus petites chambres aux occupations individuelles.
Voici la liste de nos hôtels (ou similaires, pouvant changer selon la disponibilité au moment de votre réservation) :
Quito : Hôtel Ikala
Otavalo : Hôtel Yamor
La Esperanza : Chez Aida
El Chaupi : Auberge Huerta Sacha
Lasso : Auberge San Joaquin
Chugchilán : Auberge Cloud Forest
Riobamba : Hôtel Rincón Aleman
Baños : Hôtel La Chimenea de Piedad
Pique-niques parfois à midi, les autres repas se prennent au restaurant et en auberge.
Même si à certains endroits l’eau est purifiée, nous vous conseillons de ne pas boire l’eau du robinet. Il vaut mieux la stériliser avec des pastilles ou acheter de l’eau minérale en bouteille (préférez les bouteilles d'1,5L pour limiter les déchets plastiques).
Accompagnateur équatorien francophone depuis votre arrivée à Quito jusqu’à votre départ. Il a en charge la réussite de votre voyage donc n’hésitez pas à lui poser des questions et, surtout, à suivre ses conseils.
Un chauffeur hispanophone vous accompagne tout au long du voyage, en plus de votre accompagnateur.
A partir de 7 participants un guide local hispanophone accompagne l'ascension de l'Illiniza.
Tous nos transferts terrestres sont en minibus privé (sauf en cas de vols internationaux différents de ceux du groupe : possibilité de regroupement avec d’autres voyageurs de notre agent local).
Une excellente condition physique est requise pour ce circuit.
VISITE MÉDICALE
Être en bonne santé est essentiel pour profiter pleinement de votre voyage Terres d'Aventure ! Si votre dernière visite médicale date un peu, c’est l’occasion d’effectuer un bilan de santé en expliquant à votre médecin les principales caractéristiques de votre voyage (climat, altitude, difficulté…) ; une visite chez votre dentiste est aussi une excellente initiative (maux de dents accrus en altitude).
Ces conseils vous concernent tout particulièrement puisque vous allez entreprendre un grand trekking lointain et en altitude. Nous vous conseillons de consulter le site de la Fédération Française de la Montagne et de l'Escalade (www.ffme.fr) rubrique VOTRE SANTE puis "Les effets de l'altitude".
Important : à partir de 45 ans, il est prudent d’effectuer un électrocardiogramme d’effort.
Le MAM (Mal Aigu des Montagnes) :
Ce voyage se déroule à une altitude élevée. Certaines personnes peuvent souffrir de malaises (maux de tête, gonflement, perte d'appétit). La plupart de ces symptômes disparaissent généralement en quelques jours mais il arrive qu'ils empirent et peuvent évoluer en maladies graves ; œdèmes pulmonaires ou cérébraux. Il n'existe pas de médicaments préventifs au MAM.
Le diurétique Diamox se révèle souvent efficace, mais vous devez vous assurer auprès de votre médecin que ce médicament ne vous est pas contre-indiqué. L'altitude a aussi pour conséquence de raviver les problèmes dentaires ou autres douleurs chroniques. Pensez-y avant de partir.
Pendant le voyage forcez-vous à boire beaucoup et à éliminer.
Prévenez le guide de votre état de santé, même en cas de troubles légers.
Infos sur les problèmes liés à l'altitude : www.arpealtitude.org
Note : nous choisissons de ne pas utiliser d'oxygène de secours sur ces randonnées et ascensions car la meilleure solution en cas de mal aigu des montagnes est de redescendre, et nous pouvons descendre rapidement à 2600m environ sur ces sommets et randonnées, altitude à laquelle il n'y a absolument plus aucun risque.
Partout en Equateur il faut jeter le papier toilette dans la corbeille et non pas dans les toilettes, sinon elles se bouchent.
Vous devez conditionner l’ensemble de vos affaires en 2 sacs : 1 sac à dos et 1 grand sac de voyage souple (préférable à une valise à roulettes).
1 - Le sac à dos :
Sac à dos de randonnée d’une capacité de 30 à 35 litres environ, il vous sera utile pour le transport de vos affaires personnelles durant la journée. Il sera en cabine lors des transports aériens. Généralement, le poids des bagages cabine est limité à 10 kg par personne.
Il vous servira aussi en tant que bagage à main lors de vos déplacements pour toutes vos affaires fragiles (appareil photo…), de valeur (lorsque votre hébergement ne dispose pas de coffre-fort) et pour vos éventuels médicaments.
2 - Le grand sac de voyage :
Il doit contenir le reste de vos affaires. Il sera en soute lors des transports aériens. Le poids des bagages en soute vous sera indiqué sur votre convocation ou billet.
Nos recommandations :
• Enregistrez en bagage en soute le maximum de choses et ne conservez dans votre bagage à main que ce qui est absolument indispensable à votre voyage.
• Equipez-vous pour l'avion de votre tenue de randonnée et prenez vos affaires de première nécessité, notamment vos médicaments en cas de traitement particulier (en cas de problème d'acheminement de vos bagages).
Des réglementations strictes sont en vigueur concernant les bagages en soute et en cabine. Nous vous conseillons vivement de vous renseigner sur les différentes restrictions et de consulter les informations présentes sur les sites des compagnies aériennes, des aéroports et auprès des autorités compétentes en matière d’aviation civile (en France, consulter le site de la direction de l’aviation civile : https://airbag.dsac.aviation-civile.gouv.fr/AirBag).
• 1 chapeau de soleil ou casquette
• 1 foulard
• 1 bonnet
• T-shirts (1 pour 2 ou 3 jours de marche). Eviter le coton, très long à sécher ; préférer des t-shirts manches courtes (matière respirante)
• T-shirts manches longues techniques, gardant la chaleur et respirants
• 1 sweat shirt
• 1 polaire bien chaude
• 1 petite doudoune pour les nuits en auberge
• 1 short ou bermuda
• des pantalons de trekking
• des pantalons confortables pour le soir
• 1 maillot de bain
• 1 serviette (pour les thermes à Baños)
• Des sous-vêtements
• Une paire de gants chauds et imperméables type Gore-tex.
• Une paire de gants de rechange.
• Chaussettes de marche (1 paire pour 1 à 2 jours de marche). Eviter les chaussettes en coton, très longues à sécher et risque élevé d’ampoules.
• 1 veste type Gore-tex, simple et légère.
• 1 collant (sous pantalon) chaud
• 1 surpantalon imperméable
• Une paire de guêtres
• 1 buff (tour de coup léger protégeant bien la gorge des refroidissements intempestifs)
Chaussures :
• 1 paire de chaussures de grande randonnée tenant bien la cheville
• Tennis
La liste des vêtements doit être modulée en fonction de la saison choisie.
• 1 paire de lunettes de glacier (avec coques latérales)
• Lampe frontale avec ampoules et piles de rechange (il n’y a pas de piles plates en Equateur)
• 1 masque de ski, très utile en cas de vent fort
• Couteau de poche (à mettre dans vos bagages enregistrés)
• Gourde isotherme (1 litre minimum)
• Nécessaire de toilette (utilisez des produits biodégradables), papier toilette
• Nécessaire de couture
• Des vivres de course (indispensables car le midi les repas sont souvent des pique-niques, qui peuvent paraître légers en fonction des jours de marche et de leur densité ; ainsi, vous adaptez votre alimentation "snack" lors des randonnées, en fonction de vos besoins et vos efforts)
• Une paire de bâtons de marche
• Un casque
• 1 protège-sac et/ou cape de pluie pour le sac à dos utilisé la journée pour les randonnées, car les averses sont possibles toute l'année
• Vos médicaments habituels
• Médicaments contre la douleur : paracétamol de préférence
• Anti-diarrhéique (type Lopéramide ou Tiorfan…)
• Traitement antibiotique à large spectre : prévoir 8 jours de traitement (sur prescription médicale)
• Collyre (poussière, ophtalmie) et crème antibiotique pour les yeux
• Pastilles purifiantes pour l’eau (type Micropur forte ou Aquatabs)
• Bande adhésive élastique (type Elastoplast, en 6 cm de large)
• Jeux de pansements adhésifs + compresses désinfectantes
• Pommade anti-inflammatoire
• Traitement pour rhume et maux de gorge (pastilles)
• Répulsif anti-moustiques
• Crème solaire de haute protection pour peau et lèvres (le soleil est brûlant sur l’Equateur) et crème type Biafine
• Double peau (protection contre les ampoules)
• Diamox en comprimé pour la prévention ou le traitement du mal aigu des montagnes (sur prescription médicale)
Une pharmacie collective complémentaire, fournie par l’agence et adaptée à votre voyage est placée sous la responsabilité de votre accompagnateur.
Pour obtenir les informations sur les formalités d'entrée dans le pays, consulter : https://voyage.gc.ca/voyager/avertissements
Même si la vaccination contre la fièvre jaune n'est pas (encore) obligatoire pour les voyageurs arrivant directement d'Europe ou des Etats-Unis, la multiplication des foyers de la maladie dans de nombreuses régions du pays et des pays voisins, et pas seulement dans les régions amazoniennes, justifie, dès maintenant, de la recommander à tous, hors rares contre-indications décidées par le Centre de vaccinations internationales.
Sa validité est maintenant prolongée « à vie » (mention qui doit être notée sur le carnet international, quelle qu'ait été la date de la vaccination). Elle peut, en outre, être exigée à la sortie du pays, pour les voyageurs prolongeant leur périple dans les autres pays d'Amérique du Sud, d'Amérique centrale et de toute la zone Caraïbe.
Les vaccinations habituelles devront être faites contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, les hépatites A et B, la coqueluche (dont la réapparition chez les adultes, même en France, justifie la vaccination pour tout voyage), rougeole pour les enfants. Et éventuellement, la typhoïde et la rage.
Il est présent toute l'année dans tout le bassin amazonien. Le voyageur devra adopter des mesures de protection d'abord individuelles, qui le protégeront aussi contre d'autres insectes, vecteurs d'autres maladies (fièvre jaune, dengue, virus Zika...) : répulsifs cutanés et vestimentaires actifs, port de vêtements couvrants, moustiquaires imprégnées. Pour les voyages en Amazonie, la protection médicamenteuse sera assurée par la prise d'Atovaquone-Proguanil (Malarone ou un de ses génériques) ou de Doxycycline (compte tenu du risque d'effets indésirables, la prescription de méfloquine (Lariam) ne sera proposée aux voyageurs qu'en cas de bonne tolérance lors de voyages antérieurs ou de contre-indication aux autres médicaments actifs), non indispensable dans le reste du pays, bien que le paludisme soit présent mais sous une forme bénigne dans plusieurs régions de l'ouest du pays au dessous de 1500 mètres.
Vous y échapperez en observant les conseils que nous vous avons donnés quant aux problèmes alimentaires, environnementaux ou comportementaux. Insistons ici, sur le risque de maladies sexuellement transmissibles. En ville vous pourrez être confrontés à la petite (ou à la grande) délinquance souvent liée aux problèmes de drogue. L' "andinisme", version locale de l'alpinisme, va confronter le voyageur à des altitudes inhabituelles, et l'exposer aux risques de la haute montagne qui ont été exposés dans nos recommandations générales. En particulier, l'arrivée par avion à Quito (2800 mètres) ou les treks dans la Cordillère des Andes peuvent être mal supportés par le voyageur sujet au mal des montagnes.
Virus Zika : transmise par le même moustique que la dengue et le chikungunya, la maladie n'était pas considérée comme grave (fièvre, éruption cutanée, douleurs articulaires, guérissant en une huitaine de jours) jusqu'à l'apparition, lors de l'épidémie sévissant au Brésil, de lourdes complications neurologiques chez des nouveau-nés de mères ayant été en contact avec le virus Zika. Le risque de microcéphalies, source de lourds handicaps pour l'enfant, nous conduit, en accord avec les recommandations que vient de publier le Haut Conseil de Santé Publique, à conseiller aux femmes enceintes, en particulier en début de grossesse, de consulter leur médecin pour valider le projet de voyage.
Pour les étrangers, l’accès aux soins n’est possible que s’ils ont souscrit avant leur départ, un contrat d’assistance-assurance (ce qui les dispensera d’un dépôt de provision sur carte de crédit). A compter du 1er mai 2018, la loi relative à la mobilité humaine rend cette assurance médicale OBLIGATOIRE pour tous les touristes étrangers entrant sur le territoire équatorien. Il est conseillé de contacter la compagnie d’assurances afin de se procurer le document attestant du contrat en cours à présenter lors de l’arrivée dans le pays.
Ce voyage fait partie de ceux que nous qualifions de voyage en milieu isolé ou de voyage en altitude.
Pour vous permettre de vivre cette expérience en toute sécurité, nous avons mis en place un partenariat avec l’Ifremmont, l’institut de formation et de recherche en médecine de haute montagne, basé à Chamonix.
Durant votre voyage, vous pourrez donc bénéficier d’un service médical d’urgence. Ce service vous permet d’avoir accès par téléphone 24h/24 et 7j/7 à un médecin spécialiste de l’altitude et des conditions isolées. En cas de problème médical, vous serez mis en relation par votre guide avec l’un des médecins.
Vous avez également la possibilité de réaliser une téléconsultation avant départ. Celle-ci est optionnelle et son coût est de 70€. En cas de doute sur une pathologie particulière qui vous concerne, nous vous recommandons vivement d’avoir recours à cette téléconsultation. Elle vous permettra de faire le point avec des médecins spécialistes de l’altitude. Vous partirez donc rassuré et avec des consignes claires.
Il est important de préciser que le service médical d’urgence ne remplace pas une assurance rapatriement. Il s’agit d’un service de téléconsultation médicale qui permet de poser un premier diagnostic.
Soucieux d’assurer toujours plus votre sécurité lors de nos voyages, nous avons souhaité intégrer ce service de manière totalement gratuite pour nos clients.
Deux saisons se distinguent dans le climat équatorial du pays : la saison des pluies, qui comprend des précipitations quotidiennes de décembre à mai ; et la saison sèche, qui est plus ensoleillée, moins humide et avec des températures plus fraîches de juin à novembre. Ces saisons concernent chaque région de façon indépendante. Quito et les Andes du nord (15° à 25°C) où l'amplitude des températures peut être très élevée entre la journée et la nuit, les nuits étant fraîches (7 à 10°C), surtout en hiver.
Cuenca et les Andes du sud (18° à 30°C) ; en Amazonie ou sur la côte pacifique (27° à 40°C). Aux Galápagos, la chaleur est déterminée par les courants marins et les vents, qui rafraîchissent les îles en permanence (20° à 35°C).
Les zones protégées en Equateur représentent 40% de la surface du pays soit 9 parcs nationaux dont les îles Galápagos et 17 réserves nationales.
L’équilibre écologique des régions que vous allez traverser est très précaire. La permanence des flux touristiques, même en groupes restreints, le perturbe d’autant plus rapidement. Dans l’intérêt de tous, chaque participant est responsable de la propreté et de l’état des lieux qu’il traverse et où il campe. La lutte contre la pollution doit être l’affaire de chacun. Même si vous constatez que certains sites sont déjà pollués, vous devez ramasser et jeter tous vos papiers dans les endroits prévus à cet effet. Votre accompagnateur vous y aidera.
Notre réceptif en Equateur et au Pérou collabore avec des communautés locales (Chilcapamba en Equateur, Chinchero au Pérou, entre autres) : plusieurs fois par an de façon informelle, il organise des réunions avec les familles accueillant nos groupes pour les conseiller, améliorer les prestations de cuisine, les sanitaires, etc... Chaque année notre correspondant sur place les aide à financer des améliorations (par exemple installation d´une douche) Il s'agit de microcrédits à taux 0 qu’il déduit des groupes qui passent chez eux, dont bénéficient aussi certains hébergements privilégiés pour nos groupes (Don Ivan à Baños par exemple).
Terres d’Aventure soutient (via sa fondation) la fondation équatorienne AMI qui accueille, soigne, éduque des jeunes enfants orphelins ou abandonnés.
Terres d’Aventure garantit son sérieux, vous pouvez faire votre don sur www.fundacionami.org
L’histoire :
AMI ("Amigos de la Vida"), fondation créée en avril 2004 pour la protection de l’enfance en Equateur, accueille, soigne, éduque les jeunes enfants en situation de risque et suit ceux qui ont pu être réinsérés dans leur famille. Dans le cadre de ses actions, AMI a créé "Nuestro Hogar" à 23km de Quito, foyer accueillant des enfants de 0 à 4 ans en situation de risque (abandon, maltraitance, handicap).
Notre action :
Nous participons aux frais de fonctionnement du foyer afin d’améliorer la qualité de vie des enfants, orphelins ou non, en situation de détresse et de pauvreté, de leur apporter des soins vitaux et de mettre en place des projets d’alphabétisation, de formation et d’accompagnement pour eux et leur famille. Au total, ce sont 40 enfants qui ont été pris en charge par la fondation.
Nous absorbons 100% des émissions de CO2 générées par le transport aérien et terrestre de votre voyage. Au travers de nos projets de reforestation, nous contribuons chaque année à la captation de centaines de milliers de tonnes de gaz à effet de serre, équivalent à la totalité des émissions liées à nos voyages. Ces projets sont toujours porteurs d'un objectif de développement économique autonome pour les populations locales. Pour en savoir plus www.insolitesbatisseurs.org
Nous avons toujours eu à cœur de développer un tourisme responsable. Depuis nos débuts, nous créons des voyages différents grâce à toutes les ressources de la terre, mais avec le devoir d'en assurer la pérennité pour les générations futures. Eau et énergie, rémunération et prévoyance, il y a tant à faire durant nos voyages ! Ainsi, nous œuvrons pour systématiser l'utilisation de ressources durables et pour limiter les impacts sociaux et environnementaux de notre activité.
Guides et cartes sont disponibles dans la Librairie de Voyageurs du Monde située au 48 rue Sainte-Anne 75002 Paris.
Notre démarche :
Nous pensons qu’il est important que chaque voyageur soit informé des engagements que nous prenons pour un tourisme plus responsable ainsi que des axes d’améliorations que nous poursuivons sur chacun de nos voyages. Chaque année, nous auditons et évaluons nos pratiques sociales et environnementales en collaboration avec nos partenaires sur une dizaine de catégories en lien avec les 17 objectifs de développement durable (ODD) des Nations-Unis. Nous nous rendons régulièrement sur place afin de vérifier et d’améliorer continuellement notre démarche responsable.
Le bilan responsable de ce voyage
Nos engagements :
Afin d’éviter l’achat de bouteilles en plastique, nous donnons ou prêtons des gourdes à nos voyageurs.
Nos engagements :
Les nouveaux guides doivent obligatoirement posséder un diplôme d'état pour exercer. Lors de leur formation, ils sont accompagnés par un guide expérimenté pendant au moins deux circuits.
Nous formons régulièrement nos guides dans différents domaines : formation théorique en amont de la saison, premiers secours, management de groupe, cours de français, etc.
La plupart de nos guides bénéficient d'un jour de repos minimum entre chaque circuit et au-delà de 8 jours de travail consécutif, même si la législation ne l'impose pas.
Par rapport au salaire d'un instituteur dans ce pays, la rémunération moyenne d'un guide est supérieure à la moyenne nationale. Afin de leur dégager un revenu stable toute l'année, nous organisons des voyages en moyenne et basse saisons.
Nos engagements :
Afin de minimiser les emballages à usage unique, la nourriture est transportée dans des contenants réutilisables et consommée avec des couverts réutilisables.
La majorité de la nourriture est d'origine locale.
Nos engagements :
Nos équipes à destination sont constituées d'autant de femmes, voire plus, que la moyenne nationale.
Notre partenaire s'efforce de fournir une couverture complémentaire avec une mutuelle ou une assurance de responsabilité civile.
Nous sensibilisons nos voyageurs en amont sur l'importance de la tolérance et la diversité à destination. Sur place, nos équipes partenaires formalisent cet engagement à travers une charte de non-discrimination à l'embauche.
Nos axes d'amélioration :
Les déchets sont aujourd'hui rassemblés, puis jetés dans les poubelles collectives. Nous cherchons activement des alternatives pour favoriser le tri des déchets.
Nos engagements :
Notre partenaire à destination reverse une partie de ses bénéfices à une association locale et participe à des chantiers responsables à proximité.
Nous sensibilisons nos voyageurs aux us et coutumes locales et aux comportements à adopter sur place avant leur départ et à leur arrivée.
Informations :
Parmi les véhicules utilisés pour la logistique, un peu moins de la moitié sont hybrides ou électriques.
Nos engagements :
Nos guides et nos documents de voyage sensibilisent nos voyageurs aux bons gestes et au respect de la réglementation dans les parcs naturels.
Afin d'éviter le surtourisme, nous favorisons les activités hors sentiers battus.
Nos voyageurs sont sensibilisés aux gestes à faire pour respecter les animaux.
amples. Excellente conception en termes d'acclimatation à l'altitude. Nuit en communauté très riche humainement. Il est en revanche regrettable que le guide n'ait eu aucune envie de marcher, désincitant ou supprimant des randonnées... un comble pour un voyage censé être un "trek engagé".
.. alors pas d embouteillage ascensions des fois ardues du fait du rocher , marche tranquille parfois longue mixité de paysages ... et avec la ville
sur des sommets enneigés, l'on se retrouve seul face à soi même devant l'immensité et la beauté de ses volcans. très beau voyage.
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