









Situé au nord de Katmandou, entre le massif de l'Helambu et la frontière Tibétaine, le massif du Langtang offre de superbes sentiers loin des itinéraires classiques des Annapurnas et du Khumbu. Nous commençons le trekking en longeant la rivière Langtang Khola qui trace une gorge étroite à travers bambous, jungle et forêt tempérée. Plus haut, la vallée s'élargit et les arbres cèdent peu à peu la place aux prairies alpines. Le sommet du Langtang Lirung (7227m) vous domine jusqu'au village de Kyanjin Gompa (3830m), dernier hameau habité qui sert de pâturage d'été aux troupeaux de yacks. Nous sommes alors dans la zone des glaciers descendant de la chaîne du Haut Himalaya qui ferme la frontière avec le Tibet.
Rendez-vous à l'hôtel et temps libre pour découvrir Katmandou.
Repas libres.
Longue route en bus privatisé pour Sano Bharku, petite localité situé après le village de Dunche. De là, nous regagnons un sentier puis une piste qui nous mène à Thulo Syabru (2240m), beau village accroché à une ligne de crête qui sépare la Langtang Khola de la Trisuli River. Depuis le village, la vue superbe sur le Langtang Lirung (7225m) se dessine. Jusqu'à Trisuli Bazaar (540m) la route n'est pas trop en mauvais état mais elle peut le devenir ensuite notamment après de forte pluie.
Petit déjeuner, déjeuner et dîner inclus.
Après avoir traversé une rivière nous marchons pendant deux heures sur un plat népalais (succession de montées et de descentes) dans une forêt subtropicale souvent humide, et dans laquelle il est parfois possible d'observer des singes. Nous rejoignons la Langtang Khola que nous traversons à l'aide d'un pont suspendu. Ensuite, c'est par une montée assez raide d'une heure que nous atteignons le village de Rimche (2400m). Une demi-heure plus loin, nous rejoignons Lama Hotel (2480m), petit hameau situé au milieu de la forêt.
Petit déjeuner, déjeuner et dîner inclus.
Après une heure de marche assez facile en forêt, la vallée s'élargit, dominée par le Lantang Lirung (7225m). Une heure et demie plus tard nous arrivons à Ghoratabela (3020m). Le chemin grimpe en pente douce et en deux heures nous atteignons le village de Langtang (3410m) dont les habitants sont essentiellement d'origine tibétaine. A l'horizon nous apercevons les pentes enneigées du Ganchenpo (6387m).
Petit déjeuner, déjeuner et dîner inclus.
Important : le village historique de Langtang a été totalement détruit lors du séisme de 2015 suite à une avalanche (roche, neige, glace). Le nouveau village se reconstruit légèrement plus haut dans la vallée. Les traces du séisme et de l'avalanche sont malheureusement encore très présentes.
Journée de marche volontairement réduite dans le seul but de parfaire votre acclimatation au-dessus de 3500m. Nous passons les villages de Mund et Singdum puis la montée relativement facile se poursuit jusqu'à la Tajar Chu que nous traversons juste avant d'arriver à Kyanjin Gompa (3860m) au pied de la langue glaciaire du Langtang Lirung. Kyanjin Gompa sert surtout de pâturage d'été aux troupeaux de yacks dont le lait alimente la fromagerie installée ici depuis de nombreuses années (visite possible si cette dernière est ouverte).
Petit déjeuner, déjeuner et dîner inclus.
Note : pour les personnes souhaitant se rendre au Cherko Ri le lendemain (4985m), possibilité de monter après le déjeuner au Kyanjin Ri (4350m).
En fonction des conditions météo et de votre état de forme, deux options sont possibles :
- montée au sommet du Kyanjin Ri (4350m), magnifique belvédère sur la haute vallée du Langtang et sur les sommets environnants : Langtang Lirung (7225m), Yansa Tsenji (6575m), Ganchenpo (6387m). Compter 5h de marche aller/retour et 620m de D+/D-
- montée au Cherko Ri (4985m), d’où nous avons un magnifique belvédère sur le Tibet et les sommets environnants. Vers le nord, le Yala Peak (5500m) et le le Yansa Tsenji (6575m) marquant la frontière. Vers l’est, le Langshisa Ri (6424m) et le Ganchempo (6387m). Vers le sud, le Ponggen Dokpu (5930m) et le Naya Peak (5844m). Compter 7 à 8h de marche et 1200 de D+/D-
Petit déjeuner, déjeuner et dîner inclus.
Retour à Lama Hotel par le même itinéraire qu'emprunté à la montée. Une alternative récente de sentier nous permet de basculer sur la rive gauche de la Langtang Khola et de randonner à travers une superbe forêt de résineux avant de traverser de nouveau la rivière et rejoindre Lama Hotel.
Petit déjeuner, déjeuner et dîner inclus.
Continuation de la descente jusqu'à Syabru Besi (1460m). En fonction de la composition du groupe et de l'état de fatigue de chaque participants, votre guide pourra vous proposer une alternative pour rejoindre Syabru Besi en passant par les villages de Sherpagaon et Khangjim. Compter 2h de plus de marche par ce sentier.
Petit déjeuner, déjeuner et dîner inclus.
Longue route de retour vers Katmandou.
Petit déjeuner et déjeuner inclus.
Journée libre à Katmandou vous permettant de visiter principaux sites de la ville : Durbar Square, Sawayambunathn, Bodnath ou Pashupatinath. Vous pouvez également explorer les rues de Bhaktapur, ancienne cité médiévale newari ou l'ancienne ville royale de Patan.
Petit déjeuner inclus.
Fin des prestations à l'hôtel, après le petit-déjeuner.
Supplément chambre individuelle à l'hôtel (à la demande) : nous contacter pour disponibilité et prix.
Possibilité de louer un sac de couchage à Katmandou : à réserver dès l'inscription mais à payer à votre arrivée au Népal (70€ en espèces).
Envie de partir en famille ou avec vos amis aux dates que vous souhaitez ?
3 nuits en hôtel à Katmandou
7 nuits en lodge pendant le trek
A Katmandou vous serez logés à l’hôtel Royal Singi Hotel : à 15 minutes à pied du quartier de Thamel et de Durbar Square, l’hôtel est idéalement situé pour arpenter les rues très animées de Katmandou. Il est possible de laisser un bagage à Katmandou contenant des affaires propres pour votre retour et/ou non utiles pour le trekking (prévoir un sac souple léger et un petit cadenas).
En cas d’indisponibilité de cet hôtel, un hébergement similaire en confort et situation sera proposé dans Katmandou.
Qu’est-ce qu'une nuit en lodge ?
Le terme de lodge, utilisé au Népal pour décrire ces hébergements de montagne, peut prêter à confusion. En effet, ces hébergements se rapprochent plus de nos refuges français, mais ils ne font en aucun cas référence à un lodge ou "écolodge" comme dans d’autres pays. Il s’agit le plus souvent de maisons aménagées avec des chambres pour deux ou trois personnes, une salle de vie commune et une cuisine. Le confort diminue souvent avec l'altitude, et l'isolation, tant phonique que thermique, laisse parfois à désirer. Le confort est très variable en fonction des étapes et des régions de trekking. Les chambres des lodges ne sont pas chauffées, il est donc indispensable d’avoir un bon duvet. De la même façon, les salles communes peuvent ne pas être chauffées, nous vous conseillons de vous équiper d’une veste chaude pour les fins de journées et soirées.
Certains lodges ont des douches (l’eau est souvent froide) mais qui sont très généralement payantes (entre 200 et 500 NPR/douche). Afin de participer activement à la lutte contre le déboisement au Népal, nous vous invitons à prendre des douches chaudes uniquement si l’eau est chauffée par panneaux solaires ou au gaz. Les toilettes sont rudimentaires et peuvent être à l’extérieur du lodge.
De plus en plus de lodges disposent de l’électricité mais le fonctionnement reste aléatoire et l’accès n’est pas forcément garanti à chaque étape. Pensez à vous équiper de batteries additionnelles pour vos appareils photo et/ou d’un chargeur solaire, idéal pour recharger téléphone, montre GPS ou lampe frontale. Les charges sont majoritairement payantes (entre 100 et 600 NPR/charge en fonction de l’altitude ou de l’isolement du lodge).
L’accès au Wi-Fi via le réseau 3G/4G est de plus en plus démocratisé sur les itinéraires classiques de trekking. Les connexions sont également payantes (entre 200 et 600 NPR/connexion), lentes et très aléatoires.
Supplément chambre individuelle possible uniquement à l’hôtel à Katmandou (sous réserve de disponibilité). Dans les lodges, nous ne pouvons pas réserver de chambre individuelle : à voir sur place avec votre guide pour disponibilités et prix.
Itinérant
4 à 6 heures de marche par jour environ. Dénivelé positif de 300 à 500 mètres. Bonne condition physique requise.
Bien choisir le niveau de votre voyage
De 4 à 12 participants
3 nuits en hôtel à Katmandou
7 nuits en lodge pendant le trek
A Katmandou vous serez logés à l’hôtel Royal Singi Hotel : à 15 minutes à pied du quartier de Thamel et de Durbar Square, l’hôtel est idéalement situé pour arpenter les rues très animées de Katmandou. Il est possible de laisser un bagage à Katmandou contenant des affaires propres pour votre retour et/ou non utiles pour le trekking (prévoir un sac souple léger et un petit cadenas).
En cas d’indisponibilité de cet hôtel, un hébergement similaire en confort et situation sera proposé dans Katmandou.
Qu’est-ce qu'une nuit en lodge ?
Le terme de lodge, utilisé au Népal pour décrire ces hébergements de montagne, peut prêter à confusion. En effet, ces hébergements se rapprochent plus de nos refuges français, mais ils ne font en aucun cas référence à un lodge ou "écolodge" comme dans d’autres pays. Il s’agit le plus souvent de maisons aménagées avec des chambres pour deux ou trois personnes, une salle de vie commune et une cuisine. Le confort diminue souvent avec l'altitude, et l'isolation, tant phonique que thermique, laisse parfois à désirer. Le confort est très variable en fonction des étapes et des régions de trekking. Les chambres des lodges ne sont pas chauffées, il est donc indispensable d’avoir un bon duvet. De la même façon, les salles communes peuvent ne pas être chauffées, nous vous conseillons de vous équiper d’une veste chaude pour les fins de journées et soirées.
Certains lodges ont des douches (l’eau est souvent froide) mais qui sont très généralement payantes (entre 200 et 500 NPR/douche). Afin de participer activement à la lutte contre le déboisement au Népal, nous vous invitons à prendre des douches chaudes uniquement si l’eau est chauffée par panneaux solaires ou au gaz. Les toilettes sont rudimentaires et peuvent être à l’extérieur du lodge.
De plus en plus de lodges disposent de l’électricité mais le fonctionnement reste aléatoire et l’accès n’est pas forcément garanti à chaque étape. Pensez à vous équiper de batteries additionnelles pour vos appareils photo et/ou d’un chargeur solaire, idéal pour recharger téléphone, montre GPS ou lampe frontale. Les charges sont majoritairement payantes (entre 100 et 600 NPR/charge en fonction de l’altitude ou de l’isolement du lodge).
L’accès au Wi-Fi via le réseau 3G/4G est de plus en plus démocratisé sur les itinéraires classiques de trekking. Les connexions sont également payantes (entre 200 et 600 NPR/connexion), lentes et très aléatoires.
Supplément chambre individuelle possible uniquement à l’hôtel à Katmandou (sous réserve de disponibilité). Dans les lodges, nous ne pouvons pas réserver de chambre individuelle : à voir sur place avec votre guide pour disponibilités et prix.
Le plat national traditionnel est le "dal bhat", littéralement "lentilles riz". Le riz blanc (bhat) est accompagné d’une soupe de lentilles (dal). Il est très souvent agrémenté de légumes épicés et, parfois, d’un peu de viande. Les Népalais mangent généralement ce plat deux fois par jour.
Afin de vous apporter la plus grande diversité possible dans les repas tout en composant avec les contraintes locales, votre sirdar et votre guide se chargeront de la composition des menus avec les équipes de cuisine (pour les treks sous tente) ou avec les cuisiniers des lodges.
- Petit déjeuner : au Népal, une journée démarre par le "morning tea". Il est généralement accompagné de pain tibétain, toast, chapati ou pancake, d’œufs sous différentes formes (omelettes, œufs brouillés, œufs durs…) et parfois de muesli ou porridge.
- Déjeuner : en fonction des étapes, repas chaud, généralement composé d’un plat principal (riz sauté avec des légumes, pâtes, pommes de terre, curry, assortiments de légumes). Thé ou café.
- A votre arrivée à la fin de votre étape journalière, généralement vers 16-17h, un encas avec des biscuits et du thé vous est proposé.
- Dîner : habituellement servi tôt (vers 18h30-19h), il se compose généralement d’une soupe ou d’une entrée, d’un plat chaud (dal bhat, pâtes, pommes de terre, légumes…), d’un dessert. Thé ou café.
- Boissons : à chaque repas nous prévoyons deux tasses de thé ou café par personne. Les autres boissons seront à votre charge. L’eau pendant les journées de trekking et les repas reste également à votre charge. Pour votre consommation d’eau pendant toute la durée de votre voyage, nous vous conseillons d’emmener des pastilles purifiantes pour l’eau que vous trouverez au robinet des lodges (type Micropur Forte ou Aquatabs). Il est possible de trouver facilement des bouteilles d’eau tout le long du trek mais nous déconseillons cette solution, la gestion des déchets en particulier plastique étant très compliquée au Népal.
- Collation : votre guide remettra à chaque participant à l’hôtel à Katmandou une pochette avec des collations pour l’ensemble du voyage (barres énergétiques, fruits secs et chocolats).
Note : lors de passage de col ou pour des étapes exceptionnellement longues, il est fréquent de partir à l'aube, voire de nuit, les petits déjeuners peuvent être moins importants. Le complément de vivres énergétiques est donc important.
Important : si vous suivez un régime spécifique, que vous avez des contraintes alimentaires ou des allergies particulières, n’hésitez pas à l’indiquer à votre conseiller dès votre inscription. Nos équipes sur le terrain feront le maximum pour répondre à votre demande, mais sachez que certaines contraintes locales ne nous permettent pas de vous garantir une grande diversité de menus alternatifs. Pour les voyages impliquant une grande dépense énergétique, nous vous invitons à anticiper en prévoyant éventuellement plus de vivres de courses (barres énergétiques, fruits secs, chocolats…) pour vous assurer des apports caloriques suffisants.
Accompagnateur Terres d'Aventure Népalais francophone. C’est votre guide depuis votre arrivée à Katmandou jusqu’à votre départ. Il a en charge la réussite de votre voyage, donc n’hésitez pas à lui poser des questions et, surtout, à suivre ses conseils !
L’équipe népalaise durant le trekking :
• Le Sirdar (ou Sardar) est le responsable de toute l’équipe. Très souvent il a commencé comme porteur, puis kitchen-boy puis parfois cook, et est respecté par l’ensemble de l’équipe.
• Sherpa : pas toujours de l’ethnie Sherpa, il est chargé de l’aide active auprès des clients. Leur nombre varie en fonction de la taille du groupe.
• Porteur : le Népal étant un pays de montagne, la tradition du portage humain date de la nuit des temps et perdure aujourd’hui. Les Népalais qui pratiquent ce métier sont pauvres, même s’il est vrai que le revenu qu’ils gagnent en portant est supérieur à ce qu’ils gagneraient autrement. Sans trekking, les populations montagnardes vivraient plus pauvrement encore, et les plus touchés seraient les porteurs. Au Népal, il n’existe aucune législation sur le poids de leur charge hormis pour les expédions. Seul existe un syndicat d’obédience maoïste qui essaye d’imposer aux agences de trekking (et seulement à elles), un poids maximum (30 kg) ainsi qu’un salaire minimum pour les porteurs (1600 roupies environ par jour). Ce qui veut dire que les porteurs qui ravitaillent les lodges ne sont pas soumis à cette "pression" des maoïstes…
Parallèlement à cela, beaucoup de porteurs qui travaillent pour les agences demandent plus de 30 kg pour être ainsi mieux payés. Au sein d’ATR (Agir pour un Tourisme Responsable), nous nous sommes engagés pour qu'à chaque kilo au-delà de 30 kg, une rémunération supplémentaire soit versée au porteur. Mais afin d’éviter les abus, et surtout les charges au-delà de 40/45 kg, nous vous demandons de faire vous aussi un effort en ce qui concerne le poids de votre sac qui ira sur le dos des porteurs :
- maxi 13 kg pour un trekking en lodge
- maxi 16 kg pour un trekking sous tente
- maxi 20 kg pour un trekking avec ascension de sommet et/ou expédition
D’autre part, Terres d’Aventure veille à ce qu’une assurance soit prise pour eux et qu’un équipement spécifique leur soit alloué lors de passage de col en altitude (même si souvent des porteurs refusent de mettre les chaussures par manque d’habitude…).
• Transferts en minibus ou bus privatisé entre Katmandou et le début et fin du trekking.
• Porteurs durant le trek : vous ne portez que vos affaires de la journée.
A votre arrivée au Népal nous vous offrirons un lexique de poche franco-népali ainsi qu'une carte de la région du trekking.
Visite médicale :
Etre en bonne santé est essentiel pour profiter pleinement de votre voyage Terres d'Aventure ! Si votre dernière visite médicale date quelque peu, c’est l’occasion d’effectuer un bilan de santé en expliquant à votre médecin les principales caractéristiques de votre voyage (climat, altitude, difficulté…) ; une visite chez votre dentiste est aussi une excellente initiative. Ces conseils vous concernent tout particulièrement puisque vous allez entreprendre un voyage lointain et en altitude.
Nous vous conseillons de consulter le site de l'Ifremmont pour vous rapprocher d'un centre de consultation de médecine de montagne le plus proche de chez vous.
Le MAM (Mal Aigu des Montagnes) :
Ce voyage se déroule à une altitude élevée. Certaines personnes peuvent souffrir de malaise (maux de tête, gonflement, perte d'appétit). La plupart de ces symptômes disparaissent généralement en quelques jours mais il arrive qu'ils empirent et peuvent évoluer en maladies graves ; œdèmes pulmonaires ou cérébraux. Il n'existe pas de médicaments préventifs au MAM.
Le diurétique Diamox se révèle souvent efficace, mais vous devez vous assurer auprès de votre médecin que ce médicament ne vous est pas contre-indiqué. L'altitude a aussi pour conséquence de raviver les problèmes dentaires ou autres douleurs chroniques. Pensez-y avant de partir.
Pendant le voyage forcez-vous à boire beaucoup et à éliminer.
Prévenez le guide de votre état de santé, même en cas de troubles légers.
Infos sur les problèmes liés à l'altitude : www.ifremmont.com
Vous devez conditionner l’ensemble de vos affaires en 2 sacs : 1 sac à dos et 1 grand sac de voyage.
1 - Le sac à dos :
Sac à dos de randonnée d’une capacité de 30 à 35 litres environ, il vous sera utile pour le transport de vos affaires personnelles durant la journée.
Il vous servira aussi en tant que bagage à main lors de vos déplacements pour toutes vos affaires fragiles (appareil photo…), de valeur (lorsque votre hébergement ne dispose pas de coffre-fort) et pour vos éventuels médicaments.
Il sera en cabine lors des transports aériens. Généralement, le poids des bagages cabine est limité à 10 kg par personne.
2 - Le grand sac de voyage :
Il doit contenir le reste de vos affaires. Vous recevrez avant votre départ des étiquettes Terres d'Aventure, qui vous permettront d’identifier vos bagages avec vos nom et adresse, et faciliteront le regroupement des sacs aux arrivées à l’aéroport. Il sera en soute lors des transports aériens. Le poids des bagages en soute vous sera indiqué sur votre convocation ou billet.
Nos recommandations :
• Enregistrez en bagage en soute le maximum de choses et ne conservez dans votre bagage à main que ce qui est absolument indispensable à votre voyage.
• Equipez-vous pour l'avion de votre tenue de randonnée et prenez vos affaires de première nécessité notamment vos médicaments, en cas de problème d'acheminement de vos bagages.
• En cas de problème d’acheminement de votre bagage du fait de la compagnie aérienne, Terres d’Aventure et notre partenaire local vous accompagnent pour l’acheminement de ce bagage jusqu’à Katmandou. Les frais d’acheminement de votre bagage sur votre lieu de trek resteront à votre charge. Votre assurance voyage vous permet d’acheter les éléments de première nécessité, pensez à prévenir votre guide pour l’ouverture de votre dossier.
• Merci de noter que les contrôles de sécurité sont devenus très stricts aux aéroports : mettez les couteaux, ciseaux, limes à ongles dans votre sac en soute.
Des réglementations strictes sont en vigueur concernant les bagages en soute et en cabine. Nous vous conseillons vivement de vous renseigner sur les différentes restrictions et de consulter les informations présentes sur les sites des compagnies aériennes, des aéroports ou sur le site de la direction de l’aviation civile : https://airbag.dsac.aviation-civile.gouv.fr/WD220AWP/WD220Awp.exe/CONNECT/AirBag
• Nous vous fournissons sur place un sac de type "Duffel bag" d’environ 70 litres. Ce sac vous sera remis à votre arrivée à votre hôtel à Katmandou, il remplace durant la durée du trek votre sac de voyage que vous pourrez laisser à l’hôtel. Il permet de faciliter le travail des porteurs et d’éviter l’usure de votre sac pendant le trek. Ce sac n’est pas étanche.
• Au Népal, sur les vols intérieurs, la limitation du poids des bagages est de 10 kg par personne pour le bagage en soute et 5 kg pour le bagage à main.
• Il est possible de laisser un bagage à Katmandou contenant des affaires propres pour votre retour et/ou non utiles pour le trekking.
Liste d’équipement donnée à titre indicatif et à adapter selon vos besoins et vos habitudes.
• 1 paire de sous-gants en soie ou laine
• 1 paire de gants en polaire avec membrane coupe-vent (Windstopper)
• 1 paire de gants chaud de haute montagne avec membrane imperméable et respirante (Gore-Tex)
• 1 chapeau / casquette
• 1 bonnet et 1 buff
• 1 paire de chaussures de marche basse et légère pour le voyage et/ou 1 paire de sandale
• 1 paire de chaussures de trekking
• 1 paire de guêtres (facultatif)
• paires de chaussettes laine / Coolmax pour la partie trek
• Sous-vêtements
• 1 ensemble sous-vêtements (haut et bas) chaud (matière synthétique ou laine mérinos) (facultatif)
• 1 pantalon léger pour les journées de visite
• 1 pantalon de trekking léger et 1 short
• 1 pantalon de trekking avec membrane coupe-vent (Windstopper)
• 1 surpantalon avec membrane imperméable et respirante (Gore-tex)
• tee-shirt manches courtes et manches longues (privilégier des matières respirantes)
• sous-pulls en polaire
• 1 veste polaire chaude
• 1 veste ou gilet en duvet ou matière synthétique
• 1 veste en duvet
• 1 veste avec membrane imperméable et respirante (Gore-tex)
• 1 cape de pluie
• 1 paire de bâtons télescopiques
• 1 paire de lunettes de catégorie 4 avec protections latérales
• 1 paire de lunettes de catégorie 3 pour le trek (paire de secours en cas de casse)
• 1 lampe frontale et batterie/piles de rechange
• bouchons d'oreilles anti-bruit
• 1 couteau multi-usage
• 1 briquet
• 1 thermos et/ou une gourde
• 1 couverture de survie
• chaufferettes
• nécessaire de toilette léger
• crème solaire haute protection et stick pour les lèvres
• sacs de compressions étanches
• 2-3 grands sacs poubelles et Ziploc de différentes tailles pour organiser et protéger vos affaires
• papier toilette (et Ziploc pour le stockage au sec)
• 1 sac de couchage pouvant aller à -10°C en température "confort"
• 1 drap de sac (en soie ou polaire)
• 1 taie d'oreiller (confort et hygiène)
Possibilité de louer un sac de couchage à Katmandou, température confort -15°C, à réserver dès l'inscription mais à régler à votre arrivée au Népal (70€ en espèces pour l’intégralité du voyage).
Note : location possible sous réserve de disponibilité. Il est important de noter que la taille des duvets convient uniquement à des personnes ne mesurant pas plus d'1,80m. Prévoir son propre drap de sac.
• Vos médicaments habituels
• Médicaments contre la douleur : paracétamol de préférence
• Antidiarrhéique (type Lopéramide ou Tiorfan…)
• Pansement intestinal (type Smecta)
• Traitement antibiotique à large spectre : prévoir 8 jours de traitement (sur prescription médicale)
• Collyre (poussière, ophtalmie) et crème antibiotique pour les yeux
• Pastilles purifiantes pour l’eau (type Micropur Forte ou Aquatabs)
• Bande adhésive élastique (type Elastoplast, en 6 cm de large)
• Jeux de pansements adhésifs et compresses désinfectantes
• Double peau (SOS Ampoules de marque Spenco, disponible en magasins de sport, en pharmacie, parapharmacie...)
• Pommade anti-inflammatoire
• Traitement pour rhume et maux de gorge (pastilles)
• Répulsif anti-moustiques efficace en zone tropicale
• Biafine
• Diamox en comprimé pour la prévention ou le traitement du mal aigu des montagnes (sur prescription médicale)
Votre accompagnateur sera en possession d'une trousse de premiers secours (sans médicament).
Pour obtenir les informations sur les formalités d'entrée dans le pays, consulter : https://voyage.gc.ca/voyager/avertissements
Pas de vaccin obligatoire, sauf fièvre jaune pour les voyageurs en provenance de zones où la maladie peut être présente.
Il faudra, comme pour tous les voyages (et, peut-être, plus encore ici qu´ailleurs), vérifier qu'ont été faits, en l'absence d'immunité connue, les vaccinations (ou leurs rappels) contre diphtérie, tétanos, coqueluche, poliomyélite , hépatites A et B, rougeole surtout pour les enfants. Il est, en outre, souhaitable (car il s'agit souvent de voyages « difficiles ») d'être immunisé contre typhoïde, rage, concernant l'encéphalite japonaise, la vaccination est conseillée aux expatriés et, pendant la mousson (période de circulation du virus), aux voyageurs ayant des activités de plein air dans la province du Teraï (rizières, parc de Chitwan), inutile pour les trekkeurs au-delà de 1 500 m.
Le paludisme ne sévissant pas au-dessus de 1800 m, les treks et les expéditions d’altitude ne sont pas concernés. La seule province impaludée est le Teraï, région très touristique (safaris, rafting…). La prévention passera, d'abord, par une protection rigoureuse contre les piqûres de moustiques (vecteurs potentiels dans le Teraï, non seulement de paludisme, mais aussi, sur un mode épidémique, de dengue, de chikungunya, de zika ou d'encéphalite japonaise) : répulsifs peau et vêtements, moustiquaires imprégnées. Elle devra être complétée par la prise d'un traitement préventif par atovaquone-proguanil ou doxycycline, sur prescription médicale. Compte tenu du risque d'effets indésirables, la prescription de méfloquine (Lariam) ne sera proposée aux voyageurs qu'en cas de bonne tolérance lors de voyages antérieurs ou de contre-indication aux autres médicaments actifs.
Les risques alimentaires sont fréquents pendant les treks, au cours desquels boire abondamment est une nécessité absolue. Si vous n'êtes pas sûr de l'eau qui vous est proposée, vous pourrez boire du thé. Respectez les règles habituelles de l´hygiène alimentaire : lavage des mains, aliments cuits et chauds… L'hygiène corporelle, en particulier des pieds, est, bien sûr, capitale. L’altitude est le problème principal auquel sera confronté le voyageur. Il nous parait indispensable d´insister sur les risques de la haute montagne. Il faut savoir qu'un trek au Népal (sans parler d’une ascension du « Toit du monde ») constitue souvent un réel effort physique et qu'au-delà de 4000 m, il est important de tester la capacité du voyageur. Plus que les examens classiques (électrocardiogramme, radiographie pulmonaire), qui ne révèleront que des contre-indications relatives, il peut être utile de faire évaluer, dans un centre spécialisé, la résistance de l'organisme à la baisse de la pression d'oxygène rencontrée en haute montagne (test à l'hypoxie).
La sensibilité au mal des montagnes est individuelle : elle n'est pas fonction du degré d'entraînement, ni de la condition physique. Elle peut être répétitive pour un même sujet à une même altitude. Elle semble être dépendante de facteurs constitutionnels, encore mal définis. La prévention du mal aigu des montagnes passe par certaines règles, bien connues des montagnards chevronnés : d'abord avoir en tête que, dans l'Himalaya, l'altitude n'est pas comparable à celle des plus hauts massifs alpins (les camps de base y sont installés plus haut que les plus hauts sommets européens) ; s'acclimater, en séjournant quelques jours à une altitude intermédiaire ; entre 3 500 et 4 500 m, l'ascension ne doit pas excéder 500 m par jour ; le bivouac devra, chaque fois que c’est possible, être installé moins haut que l'altitude atteinte dans la journée.
Dès les premiers signes de mal des montagnes (maux de tête, nausées, fatigue intense, vertiges), il faut arrêter la montée, traiter les symptômes, boire abondamment et, en cas de persistance, ne pas hésiter à redescendre. L'apparition de ces signes doit être considérée comme une alerte et imposer l'arrêt immédiat de l'ascension et la redescente, sous peine de voir s'installer les redoutables complications que seraient l'œdème pulmonaire et l'œdème cérébral de haute altitude. Les traitements préventifs (acétazolamide et inhibiteurs calciques) pourront être conseillés par le spécialiste, avant le départ. Les traitements (dexaméthasone, caisson hyperbare portable) ne seront utilisés que par des coéquipiers qualifiés (guide secouriste ou médecin). L'altitude peut exposer à 3 autres risques : le froid et le vent, responsables de gelures et d'hypothermie ; les chutes, responsables de fractures ou d'entorses ; le soleil, dont vous devez savoir vous protéger ; tant du rayonnement direct (crèmes à très haut indice de protection, supérieur à 40), que de la réverbération (port de lunettes de type « intégral »). Il est impératif de contracter une assurance de rapatriement sanitaire couvrant les frais de recherche et garantissant le recours possible à un hélicoptère en cas d’accident en montagne. L’attention des randonneurs et des alpinistes est attirée sur la nécessité de bien vérifier les montants garantis par leur police d’assurance (le tarif d’une évacuation héliportée s’élevant au minimum à 3 000 dollars US alors que le plafond des frais couverts par les assurances allant de pair avec l’usage d’une carte bancaire est généralement inférieur) et de s’assurer que le contrat ne comporte pas de clause restrictive au-delà d’une certaine altitude. Si vous sortez des sentiers de randonnée, soyez très attentifs au distinguo établi dans les contrats entre les secours proprement dits et les opérations de recherche.
Les installations médicales sont précaires même à Katmandou. Il faudra donc, en cas de problème grave, contacter sa compagnie d'assistance et les services des l'ambassade de France à Katmandou ou à Delhi.
Printemps : de mars à mai, les journées sont ensoleillées et les températures de plus en plus clémentes. La vue sur les montagnes est de moins en moins bonne à mesure que la mousson approche, mais c’est aussi la période de floraison des rhododendrons, absolument magnifique, entre 2000 et 3800m d’altitude. Le ciel est dégagé le matin mais peut rapidement se couvrir à la mi-journée avec une nébulosité importante.
Été : de juin à septembre, les masses d’air humide du golfe du Bengale se heurtent à la chaîne himalayenne. En s’élevant, elles se refroidissent et se condensent pour retomber sous forme de pluie : c’est la mousson. Ses effets sont très inégaux à travers le pays. Elle perd graduellement de son intensité en se déplaçant du sud-est vers le nord-ouest. Certaines régions sont donc moins touchées par la mousson : le nord de la zone de l’Annapurna (Manang, Naar, Phu), le Haut-Dolpo et le Mustang.
Automne : d’octobre à mi-décembre, le ciel est normalement d’un bleu profond, le soleil souvent radieux et la vue sur les montagnes est la plupart du temps cristalline. C’est une période optimale pour le trekking. Les températures sont plutôt agréables dans la journée mais peuvent être froides, surtout la nuit en altitude. Depuis plusieurs années, les effets du réchauffement climatique engendrent un décalage dans la période de mousson avec de potentielles précipitations début octobre. Même si les températures sont plus fraiches en novembre et début décembre, cette période est idéale pour arpenter les itinéraires de trekking avec généralement moins de trekkeurs sur les sentiers.
Hiver : de mi-décembre à fin février, les chutes de neige peuvent être abondantes, rendant parfois impraticables plusieurs cols de haute altitude. Le trekking est toujours possible, mais à des altitudes inférieures à 4000m à cause du froid. Le temps est très clair et la visibilité sur les montagnes excellente.
Us et coutumes
• "Namasté" est une expression que l’on utilise partout pour vous saluer. La signification "exacte" est : "que vos qualités soient bénies". Elle se prononce en général mains jointes et en s’inclinant.
• On se déchausse avant d’entrer dans tous les monuments religieux ou dans les maisons, en prenant soin de placer ses chaussures semelles contre terre.
• On ne pénètre jamais dans une cuisine qui n’est pas la sienne sans y avoir été invité.
• On contourne toujours les "stupas" et "chörtens" par la gauche (sens des aiguilles d’une montre).
• Le feu est sacré, spécialement chez les Sherpas, donc ne jetez aucun détritus dedans.
• Ne jamais manger dans l’assiette ni boire dans le verre d’autrui.
• Si vous voulez suivre la coutume locale en mangeant un "dal bhat" avec la main, n’utilisez que votre main droite.
• Il est mal vu de désigner quelqu’un, ou même une statue, avec le doigt.
• Lorsque vous êtes assis, évitez de pointer votre pied vers quelqu’un.
• Pour répondre OUI, les Népalais effectuent un signe latéral de la tête qui correspond plus à un "je ne sais pas" voire à un NON français.
• En couple, ne soyez pas trop "démonstratifs" : évitez de vous embrasser en public et même de vous tenir la main.
Le développement du trekking au Népal a modifié l’équilibre écologique des vallées que nous traversons. A titre d’exemple, un trekkeur en lodge consomme en moyenne 4 à 5 kg de bois par jour, et l’activité de chaque lodge implique l’abattage d’un hectare de forêt par an alors que le Népal manque déjà de bois et que l’érosion des sols provoque glissements de terrain et inondations.
Le tourisme "consomme" beaucoup d’espaces de qualité ; ainsi, des endroits réservés à l’agriculture sont désormais transformés en terrains pour camper, des habitations deviennent des lodges pour accueillir les trekkeurs etc…
Le piétinement excessif en dehors des sentiers provoque également de réelles dégradations de la végétation (tiges brisées, pertes de matière organique) et de la qualité des sols (baisse de perméabilité, érosion, etc…). Nous vous prions donc de marcher sur les sentiers durant votre trekking ou vos balades.
Des efforts énormes ont été entrepris par les Népalais pour gérer au mieux les déchets inévitablement liés à cette fréquentation de plus en plus importante, mais la lutte contre la pollution doit être l’affaire de chacun. Même si vous constatez que certains endroits sont déjà pollués, vous devez ramasser tous vos déchets (papiers, mouchoirs en papier, boîtes, etc…).
De même, comme signalé au début de ce chapitre, le déboisement est un problème grave au Népal. Aussi, nous vous demandons d’éviter de prendre des douches (plus ou moins chaudes d’ailleurs) dès lors que l’eau est chauffée au feu de bois et non par des panneaux solaires, de plus en plus nombreux au Népal, notamment dans la région de l’Everest et celle des Annapurnas.
Le tourisme représente 3,5% du PIB, 15% des devises étrangères et près de 300 000 emplois directs ou indirects. Au Népal comme dans beaucoup d’autres pays, le tourisme peut, soit aggraver les inégalités, la pauvreté et la dégradation de l’environnement, soit s’efforcer de les réduire : c’est l’affaire de tous sans exception…
Nous absorbons 100% des émissions de CO2 générées par le transport aérien et terrestre de votre voyage. Au travers de nos projets de reforestation, nous contribuons chaque année à la captation de centaines de milliers de tonnes de gaz à effet de serre, équivalent à la totalité des émissions liées à nos voyages. Ces projets sont toujours porteurs d'un objectif de développement économique autonome pour les populations locales. Pour en savoir plus www.insolitesbatisseurs.org
Nous avons toujours eu à cœur de développer un tourisme responsable. Depuis nos débuts, nous créons des voyages différents grâce à toutes les ressources de la terre, mais avec le devoir d'en assurer la pérennité pour les générations futures. Eau et énergie, rémunération et prévoyance, il y a tant à faire durant nos voyages ! Ainsi, nous œuvrons pour systématiser l'utilisation de ressources durables et pour limiter les impacts sociaux et environnementaux de notre activité.
• "Grands treks au Népal", E. Jamen, Ed. de la Boussole
• "Le Toit du Monde (Népal Tibet Bhoutan)" Ed. Solar
• "Népal, Tibet", Guide du Routard Ed. Hachette
• "Offrandes, 365 pensées de maîtres bouddhistes", D. et O. Föllmi, Ed. de la Martinière
• "Moi, Bouddha", José Frèches, Ed. XO éditions
• "Le bouddhisme pour les Nuls", J. Landaw et S. Bodian, Ed. First Editions
• "Annapurna, premier 8000", Maurice Herzog, livre de poche
A votre arrivée au Népal nous vous offrirons un lexique de poche franco-népali.
• Trekking Map au 1 :125 000 (Shangri-La maps).
Une carte de la région du trekking vous sera offerte à votre arrivée au Népal
Idéal pour un premier trek himalayen
Belle découverte d'un pays attachant. Bel itinéraire varié (forêts, hauts plateaux, montagnes) dans une région préservée et peu fréquentée. Les paysages sont extraordinaires (nous avons eu la chance d'avoir un temps magnifique et chaud). Staff local d'une extrême gentillesse et dévoué. Bon niveau physique requis (je coterais plutôt ce trek en 3 bottines).
Trek merveilleux ! Les paysages, le guide, l'équipe, les habitants, ... tout était incroyable. Il est difficile de "redescendre" du toit du monde après une expérience aussi grandiose. Mais attention, ce n'est vraiment pas un "deux chaussures", mais bien un "trois chaussures" : très très exigeant physiquement (5000 mètres de dénivelé positif et 5000 mètres négatif en 7 jours de marche, ce n'est pas rien), et les conditions de logement et d'hygiène sont rudes en montagne. Cela passe bien, car cela ne dure pas, mais il vaut mieux le savoir, sous peine de voir des attentes déçues et le cas échéant de peiner... Donc c'est un fabuleux "trois chaussures" ! N'hésitez pas si vous avez la forme !
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